Ce soir, la lune a votre visage, la rondeur de vos joues, la pâleur de votre front. Perchée comme une boule de glace sur un bâtonnet, elle a le parfum vanillé de vos baisers. Ceux que mes lèvres réclament et que vous ne m’avez jamais donnés, mon amour d’été.
Précédent
Précédent
Se dégourdir les ailes
Suivant
Suivant